L'accident vasculaire cérébral et l'assurance de prêt

L’accident vasculaire cérébral appelé aussi A.V.C est considérée comme étant une situation à risques pour la majorité des assureurs. En souscrivant à un prêt immobilier, l’assuré est dans l’obligation de souscrire à un contrat d’assurance emprunteur.

Comment déclarer un A.V.C  dans un questionnaire de santé DES ?

Lors du remplissage du questionnaire de santé DES, il est important que l’assuré stipule qu’il a été victime d’un A.V.C. Le médecin conseil en charge des questionnaires de santé demandera des examens complémentaires. Il est vivement recommandé de préciser au médecin conseil des assurances l’origine de l’A.V.C. Un arrêt vasculaire cérébral peut être d’origine ischémique (Athérome, embolie, dissection) ou hémorragique (Rupture d’anévrisme). L’assuré devra préciser si les facteurs favorisant l’A.V.C comme le diabète, le cholestérol ou les troubles du rythme ont bien été pris en charge. Il est également nécessaire de joindre au questionnaire de santé les comptes rendus d’hospitalisation initiale, les derniers comptes rendu de consultation et le dernier bilan effectué par le neurologue. L’assuré devra également mentionner la prise d’un traitement et les séances de rééducations.

Quelle sera la décision des assureurs si l’assuré a été victime d’un A.V.C ?

Peu importe les différenciations qu’ils existent, une personne ayant été victime d’A.V.C se verra ajournée le temps d’une année au minimum. Une fois ce délai passé, la garantie décès sera accordée avec un risque aggravé entre 100% et 150%. Les garanties IT et PTIA se verront refuser à l’assuré victime d’un A.V.C.